Faut-il Acheter des Actions General Electric ?
General Electric (GE) était une des actions préférées de Wall Street. Pendant de nombreuses années, les investisseurs américains la mettaient en fond de portefeuille. De 1993 à 2007, le conglomérat industriel trustait le podium des plus grandes capitalisation boursière de l'indice S&P 500, mais depuis il a perdu de sa splendeur auprès des marchés à tel point que c'est un colosse aux pieds d'argile.
Son âge d'or semble bien loin. Son business model basé sur les secteurs de l'ère industrielle n'est pas plus adapté dans le monde économique actuel. GE paie ses mauvaises décisions stratégiques.
Elles ont pour conséquence d'augmenter son niveau d'endettement. Ce qui lui oblige de céder des actifs pour survivre. Avec des fondamentaux intrinsèques au plus bas tant au niveau financier que business, l'action General Electric n'attire plus les foules. Son lourd passif lui a fait passer de statut d'élève de première à dernière classe.
Le fait que son cours de Bourse végète sur des plus-bas historiques, vous laisse penser qu'il y a matière à faire en termes de stratégie de trading ou d'investissement. Avant tout, il est nécessaire d'en savoir plus sur l'entreprise. Cela passe par comprendre son histoire, son business, l'historique de son cours de Bourse, ses forces et faiblesses actuelles.
Présentation de General Electric
General Electric est le fruit de la fusion entre Edison Electric Light Company et Thomson-Houston Electric Company en 1892 dans le domaine des installations électriques. Elle a gardé un lien étroit avec la France. D'où la cotation de l'action General Electric à New York et Paris. Son acquisition des activités d'énergie d'Alstom y est pour quelque chose.
Boursièrement parlant, GE faisait partie des entreprises cotées qui composaient l'indice Dow Jones Industrial à sa création en 1896. Le conglomérat américain y a demeuré jusqu'en juin 2018. Cela risque d'être un exploit historique difficile à égaler.
Comment Acheter des Actions General Electric en Bourse ?
Pour acheter des actions General Electric en bourse, il suffit d' ouvrir un compte chez un courtier en ligne régulé et plébiscité par ses clients, comme Admiral Markets. L'enregistrement auprès de votre courtier vous donnera ensuite accès à une plateforme de trading, comme MetaTrader 5 (MT5). Ensuite, il suffit ces quelques étapes pour investir dans l'action General Electric:
- Connectez-vous à votre compte de trading MetaTrader 5
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- Allez dans Symboles et tapez General Electric dans la barre de recherche
- Sélectionnez le titre General Electric et cliquez sur Afficher le symbole
- Faites un clic droit sur General Electric action et cliquez sur Nouvel Ordre puis Acheter
La plateforme de trading vous permettra notamment de:
- Suivre le cours de bourse de General Electric en temps réel (General Electric cote à la bourse américaine, la cote en temps réel est disponible durant l'ouverture de la bourse américaine)
- Analyser la variation de la valeur de l'action General Electric dans le temps
- Entrer en position, acheter et vendre des actions General Electric
- Suivre et gérer les positions de trading en temps réel
- Clôturer les positions en gain ou en perte
Vous pouvez spéculer sur les actions à la hausse (achat) comme à la baisse (vente à découvert) à travers les CFD (contrats pour différence) en quelques clics seulement sur le compte Trade.MT5.
Pour investir dans l'action General Electric à long terme, et plus de 4000 autres actions et ETF (fonds négociés en bourse), vous avez la possibilité de choisir le compte titres Invest.MT5.
Comment Vendre à Découvert General Electric ?
Pour vendre le titre General Electric en CFD il suffit de suivre les mêmes étapes de trading:
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Cela permet de spéculer sur General Electric à la baisse.
Analyse Graphique du Cours de Bourse de General Electric
Source: Investing.com - General Electric, graphique mensuel - Mars 1980 à Mai 2020, réalisé le 29 mai 2020
Au regard de l'évolution historique du cours de l'action General Electric sur NYSE, on voit la différence entre l'ère Jack Welsh et celle de Jeff Immelt. Pour la première, la performance boursière cumulée avoisinait environ 3645% sur la période 1981-2000.
Quant à la seconde, ça s'est soldé par une chute de 85% depuis 2001. Vous trouverez le même historique sur le cours de l'action General Electric en euros. Comme quoi, investir dans une multinationale bien connue des États-Unis n'est pas un gage de réussite en bourse sur le long terme. Le même constat a été fait avec l'action EDF.
Sur une période longue depuis le milieu des années 2000, la tendance de fond est clairement baissière. Cela témoigne de l'incapacité de l'entreprise à revaloriser son business model. La plupart des actionnaires fidèles ont perdu patience en ne voyant pas le bout du tunnel.
Son plus-haut historique autour de 60 dollars au début des années 2000 semble un lointain souvenir. Le prix de l'action General Electric a même renoué avec les niveaux de la crise financière de 2008-2009 suite au krach boursier du coronavirus. En mai 2020, le cours de l'action a même reculé à un niveau plus vu depuis 1991.
Ainsi, comme l'entreprise n'arrive pas à répondre aux attentes de marché depuis plusieurs années, son cours de bourse a tendance à faire des points hauts moins élevés et des points bas dirigés vers le Sud. Du coup, le consensus sur l'action General Electric incite les investisseurs institutionnels à s'éloigner du dossier dans une perspective de long terme.
Source : Admiral Markets MT5 avec module MT5-SE, General Electric CFD, graphique journalier (Du 5 septembre 2019 au 29 mai 2020). Consulté le 30 mai 2020 à 12h05 - Veuillez noter : Les performances passées ne présagent pas des performances futures.
Le graphique journalier permet d'observer les fluctuations de l'action General Electric avant et après le krach boursier du coronavirus. On peut ainsi observer que le coronavirus a mis fin à un rebond des prix depuis septembre 2019.
Ensuite, General Electric a perdu 50% de sa valeur entre le 24 février 2020 (début du krach boursier global), et le 18 mars 2020 (point bas du krach boursier global). Le prix de l'action General Electric est ensuite remonté, mais le mouvement n'a pas duré.
En effet, alors les marchés boursiers soutenaient le mouvement haussier, General Electric a de nouveau sombré, enregistrant un nouveau plus bas vers 5,48$ le 15 mai.
Depuis, le titre a remonté du terrain, mais reste toujours sous le pic du rebond initial vers 8,28$.
Le cours de bourse de l'action General Electric a donné signe de vie en mai, mais cela reste encore insuffisant pour anticiper un rallye haussier plus solide à moyen terme. Un signal plus positif pourrait être donnée par une montée au-dessus des 8,28$.
Le Redressement de GE a été Stoppé par le Coronavirus
Le redressement de General Electric a été perturbé par la pandémie de coronavirus, c'est le moins que l'on puisse dire….
Le conglomérat a déclaré mercredi qu'il avait dépensé 2,2 milliards de dollars en liquidités au cours du premier trimestre, ses activités dans le domaine des moteurs à réaction ayant été frappées par un "déclin rapide" des commandes de l'aviation commerciale mondiale en mars.
Genral Electric (GE) a estimé que la crise sanitaire a anéanti environ 900 millions de dollars de ses bénéfices et a affecté son cash-flow disponible à hauteur d'environ 1 milliard de dollars.
"L'impact du Covid-19 a sensiblement remis en cause nos résultats du premier trimestre, en particulier dans le secteur de l'aviation, où nous avons constaté un déclin spectaculaire de l'aérospatiale commerciale lorsque le virus s'est répandu dans le monde entier en mars", a déclaré le PDG Larry Culp dans un communiqué.
Pour faire face à la récession, GE supprime des emplois et réduit ses dépenses. La société a annoncé que les effectifs de sa division électrique ont diminué de 700 personnes au cours du premier trimestre et qu'un gel des embauches a été mis en place. Cela s'ajoute aux quelque 2 600 emplois supprimés dans le secteur de l'aviation de GE.
GE a également déclaré qu'elle prévoyait de réduire les dépenses d'investissement de 25% en 2020.
Avant la crise, GE connaissait un retour en force grâce aux efforts déployés pour réduire son portefeuille, assainir son bilan et générer un flux de trésorerie disponible en améliorant ses opérations. Même les critiques de GE ont attribué à Culp, le tout premier PDG externe de GE, le mérite d'avoir sauvé l'entreprise du désastre.
Pourtant, le taux d'épuisement du cash-flow disponible industriel de GE a presque doublé au cours du premier trimestre, lorsque la pandémie a frappé. Ses bénéfices ajustés ont chuté de 62%, plus que ce que l'on craignait.
Les bénéfices des divisions aviation, services financiers et énergies renouvelables de GE ont tous chuté. GE Power a subi une perte de 129 millions de dollars. La seule division à avoir vu ses résultats augmenter est GE Healthcare, qui fabrique des appareils d'IRM, des scanners et d'autres équipements médicaux.
Les revenus, cependant, n'ont baissé que de 5%, à 20,5 milliards de dollars, battant ainsi les estimations.
GE avait prévenu plus tôt dans le mois que ses résultats seraient mauvais. Pourtant, les actions de GE ont reculé de 2% mercredi. GE est en baisse d'environ 40% depuis le début de l'année, ce qui lui permet de récupérer une grande partie des gains de l'année dernière.
Le deuxième trimestre de GE devrait être pire
GE a averti que ses résultats ne feront qu'empirer à l'avenir, car le deuxième trimestre sera le premier trimestre complet au cours duquel l'économie mondiale sera au point mort en raison de la pandémie de coronavirus. La société a déclaré qu'elle s'attendait à ce que ses résultats "déclinent" par rapport au premier trimestre.
Comme la plupart des entreprises américaines, GE a indiqué qu'elle était très incertaine quant à l'avenir.
Citant la "nature évolutive de la pandémie de Covid-19", GE a déclaré qu'elle ne pouvait pas prévoir "avec une précision raisonnable la durée, l'ampleur et le rythme de la reprise" dans l'ensemble de ses activités.
"Bien qu'il y ait de nombreuses inconnues, il y aura un après - les avions voleront à nouveau, les soins de santé se normaliseront et se moderniseront, et le monde a encore besoin d'une énergie plus efficace et plus résistante", a déclaré Culp.
Les commandes de moteurs à réaction en chute libre
Sans surprise, la division des moteurs à réaction a subi le plus gros coup au cours du premier trimestre. Les commandes de moteurs commerciaux ont chuté de 82%, pour atteindre 145. Cela inclut une baisse de 99% des commandes du moteur LEAP, qui était auparavant une source de revenus importante pour GE. Le moteur LEAP est le moteur exclusif du Boeing (BA) 737 MAX, qui est immobilisé au sol depuis plus d'un an.
GE a déclaré qu'elle s'attendait à ce que le secteur de l'aviation se remette lentement du "déclin sans précédent" de 2020.
Le point positif chez GE est sans aucun doute sa division santé, qui a connu une forte demande de ventilateurs et d'autres produits pendant la pandémie.
"Dans le domaine de la santé, nous sommes en première ligne pour combattre le Covid-19 depuis les premiers jours à Wuhan. C'est fondamental pour notre mission", a déclaré Culp.
Pourtant, GE a déclaré qu'elle "accélérait" la transformation prévue de sa division santé, en partie en réduisant ses effectifs.
Le moment de la crise est difficile pour GE car son redressement dépend de la poursuite de la croissance économique. Des bénéfices plus faibles et une consommation de liquidités plus importante donneront à GE moins de ressources pour rembourser ses dettes et investir dans l'avenir.
GE a reconnu ce problème mercredi, avertissant dans un document de la SEC que les conditions du marché et la volatilité "font courir des risques accrus à nos échéances pour réduire notre endettement". La société a déclaré qu'elle s'attend maintenant à atteindre ses objectifs précédents en matière d'endettement "sur une période plus longue" que prévu, car elle compense la baisse de ses flux de trésorerie.
Un autre problème pour GE est que l'effondrement des prix du pétrole a réduit la valeur de sa participation restante dans Baker Hughes (BKR). Citant l'"extrême volatilité" des marchés des matières premières, GE a subi une perte de 4,6 milliards de dollars sur son investissement dans Baker Hughes.
Deux Ères Distinctes - L'Âge d'Or Puis La Chute d'Un Symbole Industriel Américain
La première ère est la plus marquante en Bourse. Elle s'est étendue sur 20 ans de 1981 à 2001 sous le règne de Jack Welsh. Lors de sa prise de fonction, GE était considérée comme une entreprise à l'ancienne avec une croissance qui ne faisait pas rêver.
Pour entrevoir un game changer positif vis-à-vis des marchés, Jack Welsh décide d'en faire un conglomérat industriel en diversifiant ses activités dans les médias, divertissements, services financiers, santé. Le tout à travers des acquisitions ou des créations de filiales.
Évidemment, cette diversification a rangé au second plan son activité d'origine, mais à cette époque, la vision du marché était orientée vers la course à la croissance et faisait fi des conséquences futures de cette stratégie.
En septembre 2001, Jeff Immelt prend la place de Jack Welsh pour la seconde ère qui fera office de retour à la dure réalité pour l'entreprise General Electric. Avec trois crises économiques à la clé, le conglomérat industriel perd un lourd tribut sur sa stratégie de diversification à tout-va.
Elle lui coûte beaucoup d'argent. Entre les lignes, la fin de sa période dorée a commencé quelques trimestres après l'éclatement de la bulle Internet. Le fait que GE était encore la première capitalisation boursière du S&P 500 pendant quelques années a masqué ses premiers signes de déclin.
Pour retomber sur ses pattes, Jeff Immellt adopte une stratégie de recentrage sur ses activités industrielles. Histoire de redonner de la visibilité vis-à-vis des marchés, l'entreprise cède la totalité de ses actifs dans les médias, le divertissement et une part dans les services financiers pour réduire sa dette et se faire du cash.
Ce cash est en partie réinvesti sur des activités plus stratégiques. Elles s'avèreront à ce jour des paris perdants à l'image de sa fusion avec Baker Hughes dans le pétrole de schiste et le rachat des activités d'énergie d'Alstom dont GE écorne son image vis-à-vis des décideurs politiques de la France.
Ses déboires industrielles sans parler des manipulation des comptes financiers entraînent la chute d'un géant industriel qui peine à s'adapter à un environnement économique où la visibilité est de mise.
Le Business Model de General Electric en Manque d'Authenticité
Les marchés financiers d'aujourd'hui insistent sur la visibilité. Ils sont plus attentifs sur la qualité du business model. Malheureusement, le General Electric d'aujourd'hui peine à retrouver un second souffle. Son business model de conglomérat industriel lui a fait perdre une partie de son authenticité. Du coup, les investisseurs ont du mal s'y trouver pour analyser les fondamentaux de l'entreprise.
Ses activités tournent autour de plusieurs entités industrielles : Aviation, Énergies Renouvelables, Power, Eclairage, Capital-Investissement, Santé. Elles sont soumises à une concurrence élevée malgré leur importance stratégique. L'entreprise doit investir de manière conséquente pour dégager des bénéfices. D'où le manque de stabilité en matière de profitabilité, rentabilité et génération de cash flow.
Si la chute de l'action General Electric s'est poursuivie durant les années qui ont suivi, c'est aussi la faute d'un risque endogène qu'elle n'a pas vu venir. En effet, la baisse du prix du pétrole en 2014-2016 fait que ses investissements dans le domaine de l'énergie se sont mal passés.
Pour se donner un peu de marge financière et redresser la barre, le conglomérat industriel américain envisage de céder une grosse partie de sa participation sur Baker Hughes puis restructurer ses activités dans les turbines à gaz.
Dirigeants et Actionnaires de General Electric
Les difficultés financières et stratégiques de GE se traduisent également par une instabilité de son management. Après le départ de Jeff Immelt en 2017, deux CEO se sont succédé. Cela n'aide pas à améliorer sa cote auprès des actionnaires. Depuis octobre 2018, Henry Lawrence Culp Jr. est à la tête de General Electric en remplacement de John Flannery.
Les actionnaires majoritaires de l'entreprise sont en majorité des sociétés américaines d'asset management (gestion d'actifs). Vous trouvez par ordre de participation du capital (mis à jour le 27 janvier 2020) :
- Vanguard Group 7,35 %
- Fidelity Management & Research Co 6,2 %
- T. Row Price Associates, Inc à 5,62 %
- Blackrock Fund Advisors à 4,08 %
- SSga Funds Management à 3,93 %
Dividende De General Electric
Face à un business qui présente des symptômes et une dette élevée, GE a dû se résoudre à baisser son dividende pour éviter la faillite. Ce qui rend la pilule difficile à avaler pour les investisseurs de long terme, c'est qu'elle faisait partie des aristocrates à dividende (25 années ou plus de hausse consécutives du dividende). D'où l'intérêt de prendre conscience que les performances passées ne reflètent pas les performances futures.
Depuis fin 2008, le dividende de General Electric a baissé à cinq reprises (2009, 2010, 2017, 2018, 2019) dont le montant d'aujourd'hui est de 4 cents. Cela contribue à la forte volatilité du titre. Le fait qu'on tend vers la suppression de son dividende conduit vers une absence de rendement.
Au 31 décembre 2018, le rendement de l'action General Electric était de 6,34%. Un an plus tard, la baisse de 88,76% de son dividende l'a descendu à 0,35%. Le dividende 2020 de General Electric a ensuite été suspendu à cause de la crise du coronavirus.
Risques et Opportunités
Si on fait la synthèse de l'analyse fondamentale et technique de l'action General Electric, les risques sont relativement importants. Ses activités concentrées dans l'industrie sont sensibles au cycle économique. Dans chacune d'entre elles, le conglomérat a forte à faire au niveau de la concurrence.
Parmi les principaux concurrents de General Electric, on peut citer les américains, 3M, Honeywell, Emerson, United Technologies et Rockwell Automation, l'allemand Siemens, le japonais Hitachi, le français Schneider Electric, etc.
Le retard accumulée lui contraint d'investir avec les sacrifices d'augmenter sa dette et supprimer son dividende. Pour enfoncer le clou, des class action contre General Electric (ou General Electric class action suit) sont en cours que ce soit en interne avec les salariés ou en externe par le biais des actionnaires.
Pourquoi Warren Buffett A Vendu Sa Participation Dans General Electric
Investir sur General Electric Corporate Action est à ce stade très risqué pour du long terme. Le fait que l'une des légendes l'investissement en Bourse, Warren Buffett a soldé tous ses titres détenus au cours de l'année 2017 ressemble officieusement à un conseil ou recommandation à la vente sur General Electric.
Lui-même s'est rendu compte que elle ne remplissait pas les critères d'une entreprise compétitive. Les investisseurs les plus avertis ont bien fait de liquider leurs positions avant que la situation s'aggrave.
Si opportunité il y a, il serait raisonnable de privilégier des trades tactiques, soit à travers du swing trading de quelques semaines ou la vente à découvert. Cette dernière semble judicieuse au cas où les prévisions futures de General Electric ne donnent pas de signes d'amélioration. Vous pouvez le faire à partir des CFDs (contrats pour la différence) chez un broker comme Admiral Markets.
Pourquoi et Comment Investir dans General Electric Chez Admiral Markets
Les actions américaines sont devenues une offre incontournable chez les investisseurs francophones. Quelques brokers traditionnels ont saisi cette opportunité en proposant des tarifs compétitifs sur le marché au comptant.
Curieusement, elles ont l'avantage d'être plus familières que les actions françaises. En effet, ce sont souvent des marques reconnues dans le monde entier.
Investir sur General Electric Wabtec Corporate Action signifie que vos transactions à l'achat ou la vente sont réalisées sur le New York Stock Exchange. Comme c'est une action ayant une liquidité satisfaisante, vous aurez peu de problème d'exécution pour détenir vos titres si vous faites un ordre à cours limité.
Vous pouvez également investir sans engager un somme conséquente à travers les contrats pour la différence (CFD) chez Admiral Markets. Ce sont des produits dérivés adossés à des sous-jacents tels que les actions, les obligations, les matières premières ou encore le Forex. Pour vous rassurer, elles sont régulés par les autorités des marchés financiers.
Par leur flexibilité, ils sont échangeables 24h sur 24 tant à l'achat qu'à la vente avec un niveau d'effet de levier de votre choix. Une mise en garde s'impose à propos de l'effet de levier. Il peut jouer en votre faveur ou défaveur selon le scénario de marché. Si ça se passe comme prévu, n'hésitez pas à sécuriser vos gains suivant votre money management.
Quel que soit votre profil de trading, il est plus sage d'utiliser un niveau conforme à votre aversion au risque dans le but de ne pas vous mettre dans une situation très difficile tant sur le plan financier que psychologique.
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Références
- General Electric : la chute d'une icône américaine, Les Echos
- General Electric Co, CNN Business
- General Electric
- La Tribune
- France Info